Bonnie, la mère de Farouk, est obligée d’inscrire son fils à l’école en tant que genre non binaire pour éviter de se faire couper les cheveux.
C’est arrivé dans une banlieue de Londres, à Fulham, où une mère célibataire nommée Bonnie a lancé une pétition pour empêcher que son fils ne soit obligé de se faire couper les cheveux avant la rentrée au collège.
La femme, comme le raconte le DailyMail, a tenté de demander au gouvernement d’interdire la règle selon laquelle les garçons doivent avoir les cheveux courts et ne peuvent pas faire pousser de dreadlocks au-delà d’une certaine longueur.
Après plusieurs tentatives, la femme a été forcée de choisir la voie la plus radicale : inscrire Farouk en tant que genre non binaire afin d’éviter tout problème avec l’institut.
Bonnie et son combat contre le système scolaire anglais :
Bonnie, la maman du petit Farouk, mène une véritable bataille contre le système scolaire anglais : « Ils nous disent d’être tolérants, d’embrasser la diversité », explique-t-elle au Dailymail, « Et pourtant cette attitude enseigne aux enfants qu’ils ne peuvent pas être différents ».
Sa lutte a commencé après avoir découvert que son fils devrait se couper les cheveux pour s’inscrire au collège. L’enfant est seulement terrifié de devoir dire adieu à ses cheveux. Malgré la grande popularité de son histoire, il n’y a pas eu de réponse pratique du gouvernement, alors Bonnie est obligée d’inscrire son fils dans le genre non binaire.